Pérégrination des reliques

Pérégrination des reliques de Ste Elisabeth de la Trinité du 15 au 23 janvier 2024

Copie de celle qui se trouve en l'église Saint-Michel de Dijon, cette petite châsse contient un reliquaire de Sainte Elisabeth. Maintenant pur reflet de la Trinité, elle diffuse sa lumière. Devenue totalement transparente à la présence de Dieu en elle, Elisabeth vient nous visiter et nous entraîner à sa suite dans la louange et l'adoration du Dieu tout Amour.

"Il me semble qu'au Ciel, ma mission sera d'attirer les âmes en les aidant à sortir d'elles
pour adhérer à Dieu par un mouvement tout simple et tout amoureux,
et de les garder en ce grand silence du dedans
qui permet à Dieu de s'imprimer en elles, de les transformer en Lui-même."

15 janvier - Carmel de FLAVIGNEROT : 12 h 45, départ de la châsse

15-16 janvier - Carmel de MAZILLE : voir le programme

16-17 janvier - Carmel d'ARS : prendre contact

17-19 janvier - Carmel de FOURVIERE : voir le programme

19-21 janvier - Institut Notre Dame de Vie de VENASQUE : prendre contact

21-23 janvier - Carmel d'UZES : prendre contact

23 janvier - Carmel de FLAVIGNEROT : 16 h, accueil de la châsse

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♦ La châsse d'Elisabeth de la Trinité a été conçue pour accueillir le reliquaire qui contient une partie de ses ossements. Le projet s’inspire d’une lettre qu’Élisabeth écrit à son amie Germaine de Gemeaux le 14 septembre 1902 : « Sainte Thérèse dit que l’âme est comme un cristal en lequel se reflète la Divinité. J’aime tant cette comparaison, et lorsque je vois le soleil envahir nos cloîtres de ses rayons, je pense que Dieu envahit ainsi l’âme qui ne cherche que Lui ! ».
La châsse renvoie à la signification de son nom de baptême. Le jour de sa première communion, la petite Sabeth, qui a onze ans, visite le Carmel de Dijon et apprend le sens de son nom : « Elisabeth signifie : Maison de Dieu ». Le Dieu trois fois Saint habite en elle depuis le baptême.

♦ Le reliquaire est le cœur de la châsse, un peu comme la petite cellule où Elisabeth aimait se retirer dans la solitude, pour s'immerger « dans la profondeur du Mystère ».
Maintenant ses restes diffusent eux aussi la lumière, comme un chandelier placé sur le lampadaire, et continuent à nous illuminer et à nous parler de l’inhabitation de la Trinité dans nos âmes.

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